J - 2

Les lecteurs de ce blog se demandent sûrement ce qu'il est arrivé à Véga, disparue dans les brumes lilloises. Que dire alors pour les rassurer ? Que tout va bien à Flines-les-Mortagne, que Véga fait partie de la bande "Lisa, Billy, Tom", et a donc retrouvé son père chéri pour des parties de jeu endiablées. Il fallait bien un comparse aussi excité qu'elle pour tenir le rythme et l'adage "tel père telle fille" joue encore une fois à merveille. Avec sa mère Lili, en revanche, séance câlins assurée, comme on le voit sur les photos où Lili s'occupe de nettoyer son "grand chiot" qui dort en confiance...
Une petite phrase de Jasmine, grande spécialiste de border, et en photo avec Ziza entre deux oreilles d'ânes (!) prouve que Véga ne dissimule pas son caractère, même quand elle est "invitée" : "Véga est très gentille mais quand elle s'énerve, elle s'énerve", sic ! Sa maîtresse attend donc avec impatience de voir son énervée de chienne samedi après-midi. Le moment tant attendu arrive enfin, J - 2 ! En effet, se retrouveront à Flines les demi-frères de Véga, Vrac et Vargas, sa jeune nièce Aïkie et la fiancée de Vrac, Vaya, pour une longue promenade suivie d'une soirée sans doute mémorable. Vous aurez bientôt droit au compte rendu de ce week-end borderien, en trois versions sur les différents blogs...
Puis Véga sera privée d'ordinateur jusqu'à mercredi prochain, date de son retour dans ses pénates athéniennes où son maître l'attend aussi, après avoir avoué "elle me manque bien, cette Poucette, il faut dire qu'elle n'est pas transparente". Eh oui, la petite chose beige poilue et toujours joyeuse a su définitivement conquérir son maître !
A bientôt donc !

Chienne ingrate

On pourrait croire que Véga, en pension dans sa meute nourricière, se morfondait loin de sa maîtresse adorée. Eh bien cette dernière a commencé à douter de l'attachement de sa chienne lorsqu'elle l'a quittée mardi matin aux aurores : Véga a vu les sacs et l'a suivie jusqu'à la porte. C'est alors qu'a surgi Lisa, 10 mois et toutes ses dents, tenant justement un objet rond et rouge dans sa gueule. Véga a regardé sa maîtresse, a regardé Lisa et s'en est allée à la chasse à la balle d'un air joyeux. De là à penser que sa maîtresse vaut moins qu'une baballe dans l'affection de sa chienne, il n'y a qu'un pas...
Les photos montreront donc la pleine forme de Véga (avec collier jaune et/ou corde à noeuds dans la gueule) qui, aux dires de Michèle, est totalement épanouie à Flines et ne manifeste aucun regret de ne pas voir sa maîtresse... La solution pour enrayer l'angoisse récurrente de Véga est donc là : en rentrant à Athènes, il faudra envisager d'installer une douzaine de border dans l'appartement et sur la terrasse. Le maître de Véga resté en Grèce sera sans doute ravi en découvrant cette nouvelle !

Mini message pour maxi Véga

C'est dans trois jours que Véga s'envole pour deux semaines de vacances dans des contrées exotiques : voyez plutôt son voyage de globetrotter : lundi matin décollage d'Athènes, lundi midi Bruxelles et sa Grand-Place (et ses gaufres), lundi en fin d'après-midi Tournai et sa cathédrale (et ses chocolats), lundi en soirée, Flines et sa meute (et ses croquettes insipides, Michèle en a déjà fait une réserve, hélas). Quelle aventure, quel dépaysement ! Véga reviendra ensuite à Lille deux semaines plus tard, après LE week-end que nous attendons tous, celui de la grand-messe borderienne, qui se déroulera à Flines, en présence de Vargas, Vrac, Vaya, Aïkie et elle-même.
A Lille, ce sera l'occasion de rencontrer pendant un petit moment un humain très gentil (on espère) qui tentera, le pauvre, de comprendre pourquoi Véga donne de la voix quand sa maîtresse part...
Mais avant tout cela, il reste aux fidèles lecteurs à mettre des cierges pour que Véga puisse réellement partir d'Athènes ; comme d'habitude en effet, elle dépasse le poids fatidique autorisé en cabine et il s'agit de surcroît d'une compagnie aérienne qu'elle ne connaît pas. Sa maîtresse tremble donc de se faire refouler pour 900 g d'excédent de border...
Véga arrivera-t-elle à partir ? Aura-t-elle le droit de manger des gaufres bruxelloises ? (la réponse est non tout de suite) Aura-t-elle le dessus dans la première bagarre avec Lisa à Flines ? Reconnaîtra-t-elle son pap' adoré shouté ?
Vous saurez tout bientôt, la semaine prochaine, en lisant la suite des tribulations de Véga !
P.S. : le maître de Véga laissera un petit commentaire à cet article dès qu'il sera prévenu du passage du sas à l'aéroport lundi en fin de matinée...

Il y a un an...

"Je voulais attendre ce week end pour vous annoncer la naissance d'une petite femelle hier dans la nuit, mais attention, c'est Lily la maman (...) qui a fait cette femelle de 80 g. Elle est toute petite car prématurée de 8 jours. Elle a un très grand désir de vie mais je dois m'en occuper jour et nuit car elle n' a pas toujours la force d'aller à la mamelle , donc je la maintiens et elle tète, je dors avec elle et essaie de la nourrir le plus souvent possible !
Elle est fauve , si vous êtes d'accord pour tenter l'aventure cette petite femelle est pour vous mais il faut qu'elle passe le cap des 15 jours ! "

Voilà le message que la maîtresse de Véga, alors à Argos, recevait il y a un an et un jour... Il faut dire qu'elle avait battu le rappel de tous les élevages depuis 5 mois sans succès, de la France à la Hollande, en passant par la Suisse et l'Allemagne et que cette petite souris restait donc la dernière chance d'avoir quelque chose qui ressemble plus tard à un Border.
Elle a donc "tenté l'aventure" et ne le regrette pas en voyant aujourd'hui la souris de 80 g devenue grande : poilue, moustachue, 6kg, insolente, facétieuse et avec un fort caractère, c'est la carte d'identité de Miss Véga du Bois Caïman... Le grand désir de vie qui était évoqué à l'âge d'un jour (!) s'est accru avec les mois, c'est le moins qu'on puisse dire ! Pour le prouver, rien de tel qu'une petite vidéo : Véga y joue avec ses cadeaux d'anniversaire, un vieux pot de fleur en plastique et une vieille racine terreuse. Pardon, un superbe vase design et un bel objet ornemental en olivier... et illustre l'adage "Un an et toutes ses dents".

Cliquez ici pour voir la vidéo, et soyez patients : il lui faut du temps pour charger la première fois (Vous pouvez continuer à lire l'article pendant ce temps)

Mais qui est vraiment Véga, nous direz-vous ? Pour aider le lecteur à mieux cerner le personnage, exceptionnellement pour son anniversaire, Véga va prendre la parole (tout le monde aura remarqué que les articles de ce blog ne sont jamais à la première personne : Véga ne s'exprime directement que dans les commentaires et les autres blogs amis). Elle a accepté de répondre au questionnaire de Proust et nous retransmettons ici fidèlement ses réponses.

Le principal trait de mon caractère : très sociable

La qualité que je désire chez un homme : qu'il soit sportif pour courir avec moi
La qualité que je désire chez une femme : qu'elle me lance la baballe 15 fois de suite
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : leurs babines
Mon principal défaut : un peu trop stressée
Mon occupation préférée : déchirer les mouchoirs en tissu de ma maîtresse
Mon rêve de bonheur : manger autre chose que des croquettes insipides

Quel serait mon plus grand malheur : ne plus avoir droit à mon morceau de fromage quotidien

Ce que je voudrais être : moi et personne d'autre !
Le pays où je désirerais vivre : la France en été, la Grèce en hiver, comme ça il fait soleil partout
La couleur que je préfère : rouge comme ma baballe (si on m'en offre une bleue, je boude)

La fleur que j'aime : la fleur de ciboulette que je dévore en douce
L'oiseau que je préfère : le pigeon, bête assez lente pour que j'aie des chances de l'attraper…

Mes auteurs favoris en prose : A. C. Doyle (Le chien des Baskerville)
Mes poètes préférés : J. de La Fontaine (parce qu'il y a plein de chiens…)
Mes héros dans la fiction : Milou, Idéfix, Snoopy
Mes héroïnes favorites dans la fiction : Belle (et le Clochard)
Mes peintres favoris : Goya, Picasso (cherchez leurs œuvres avec des chiens…)
Mes héros dans la vie réelle : Sido et Vizir
Ce que je déteste par-dessus tout : être seule
Le don de la nature que je voudrais avoir : Mmmm… Apprivoiser les chats
Etat présent de mon esprit : excité, joueur, malicieux, insolent, intrépide… ça vous va ?
Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence : que ma maîtresse n'arrive pas à tenir correctement ma corde à nœuds à l'autre bout quand je tire… (elle a des forces de poulet, j'en profite aujourd'hui pour le dire à l'aise)
Ma devise : Je suis un border et je fais un malheur

Alors, très bon anniversaire Véga, et des gros bisous de la part de tes maîtres, de Sido, Vizir et de tous tes lecteurs, sans doute, dont on attend impatiemment les commentaires !

Fébrilité

Au vu des images, on pourrait penser que Véga profite du soleil athénien de ce week-end. Ne vous y méprenez pas : elle supervise les préparatifs pour son anniversaire et n'a pas trouvé mieux que la table du jardin comme poste de surveillance. Cela permet également aux fidèles lecteurs d'admirer le bananier de sa maîtresse ainsi que l'oranger (à gauche, avec une orange, si, si) qui en est très fière (et a pris sa chienne comme prétexte pour les photographier).
Le compte à rebours va bientôt se terminer et après-demain, grande fête, feux d'artifice, jeux en tous genre (course à la baballe, pêche à la croquette) sont au programme pour faire de ce jour un souvenir exceptionnel... A bientôt !

Ce sont des filles...

Félicitations à Tina du Bois Caïman qui vient d'avoir deux jolies filles, nonobstant la légère déception de sa maîtresse qui l'aurait volontiers transformée en pondeuse plus rentable ;-) Quand on pense que l'an dernier, certains désespéraient avoir une petite femelle...

Diane au bain

Le blog rattrape le temps perdu à cause des couacs informatiques et les lecteurs ont l'immense joie de profiter de trois articles (de fond) d'un seul coup…
Après "Véga aux raisins", voici donc "Véga au bain", ou comment occuper une matinée pluvieuse d'octobre.
Comme la jolie nièce de Véga l'avait bien compris dans le commentaire d'"Une semaine de bêtises", Véga a subi un sort plus que pitoyable pendant son séjour argien, à fréquenter des chiens errants éminemment sympathiques mais néanmoins accompagnés sur eux d'une foule de petits animaux sauteurs qui n'ont pas hésité à la prendre comme moyen de transport en commun. Eh oui, drame, nous avons bien parlé de puces, et en dépit de la vue défaillante de la maîtresse de Véga, il était quasiment certain que ces petites bêtes avaient pris Véga d'assaut (enfin, pas d'affolement, elle a dû en avoir peut-être 5 ou 6 !). Ce samedi matin, donc, alors qu'il pleuvait et que Vizir et Sido, en chiens ingrats étaient repartis pour de nouvelles aventures après avoir joué et (surtout) mangé, la maîtresse de Véga eut une idée de génie (enfin, selon elle, car Véga ne trouve pas l'idée si géniale que ça). Véga allait prendre un bain afin de redevenir la petite chienne lustrée, brillante et soyeuse d'antan. Euh non, pas soyeuse, sinon on va encore critiquer son poil du côté de Flines, enfin, retrouver donc son poil de balai brosse qui fait son succès dans tout le quartier à Athènes (traduire : tous les gens qui la caressent conseillent à sa maîtresse de la brosser de temps en temps car "vraiment, elle n'a pas un beau poil, il est rêche comme tout, la pauvre. Vous savez, il existe des brosses pour chien, vous devriez essayer, si, si…" Cela fait longtemps que la maîtresse de Véga ne tente plus d'expliquer que plus sa chienne est rêche, mieux c'est, au risque de passer pour quelqu'un qui ne s'occupe pas de son chien).
Bref, un bain, disions-nous, mais qu'y a-t-il d'exceptionnel à cela ? Eh bien, c'était la première fois depuis 6 mois que Véga allait enfin profiter d'une vraie baignoire, avec de l'eau chaude, et non pas subir un jet de tuyau d'arrosage dans le jardin. Merci la pluie, assez inhabituelle à cette saison…
Alors commença la corrida :
Il fallut d'abord amadouer l'animal qui, pas folle la guêpe, avait parfaitement compris que les manières doucereuses de sa maîtresse qui faisait couler de l'eau à grand bruit, cachaient quelque chose de peu agréable (de là à insinuer que sa maîtresse a toujours des manières doucereuses quand elle veut brimer sa chienne, il n'y a qu'un pas que vous pouvez franchir allégrement. Quelle traître…). Véga resta donc un long moment sur le pas de la porte de la salle de bain.
Une fois la bête féroce maîtrisée, on la dénuda entièrement, de la tête aux pieds, en enlevant les deux colliers (la médaille est bien celle de Véga, même si son nom est écrit en grec, d'où le b initial), misérables trophées d'une lutte inégale…
Véga essaya bien le coup de "ah, j'ai soudain la migraine, que se passe-t-il ? Il faut que je m'allonge et que je ne bouge plus", mais cela ne marcha pas un seul instant avec sa maîtresse inflexible (épithète quasi homérique). (ne vous attendrissez pas sur son air malheureux, elle le fait souvent).
Et on la plongea dans une eau chaude alors que Véga soufflait de désespoir. (ne vous attendrissez pas sur son air malheureux, elle le fait souvent) (oui, la répétition est voulue).
Et comme d'habitude en contexte "mouillé", volontaire ou involontaire, Véga se mit à ressembler à une loutre (qui veut sortir de la baignoire, pas très courant chez les loutres, ça, cependant). Avantage sur les autres fois tout de même : la température de l'eau sembla lui plaire et cela évita des tremblements incontrolés et des grognements de gorge.
Le shampoing (spécial poils durs, Michèle…) eut même l'air d'avoir fort bon goût car Véga aurait volontiers lapé l'eau du bain si sa maîtresse ne l'en avait pas dissuadée.
Enfin la délivrance ! Après avoir été bouchonnée et frictionnée comme il se doit, Véga courut achever sa toilette elle-même au salon où elle se roula avec délice sur son tapis (et le canapé, aïe, si son maître lit ça…) en faisant des "grrr" de contentement, afin de retrouver forme canine, un peu ébouriffée mais sentant "le propre", et surtout, débarrassée des "amis" sauteurs qui furent noyés dans l'eau du bain.

Canada dry

Non, non, que les lecteurs ne s'abusent pas. Véga n'a pas décidé de reconvertir son blog en un débit de boissons, comme le pouve d'ailleurs sa sagesse dans le précédent article, où elle a transformé les raisins en un produit comestible sobre...
Le titre est donc simplement une discrète allusion à un slogan publicitaire des années 80 "ça a le goût de l'alcool, la couleur de l'alcool, mais ce n'est pas de l'alcool".
Les lecteurs se souviendront sans doute des prémonitions argiennes du mois d'avril "quand ton chiot sera grand, il deviendra un griffon". Eh bien nous avons la preuve aujourd'hui que les Argiens ne s'étaient pas trompés, n'en déplaise à la maîtresse de Véga qui s'était moquée d'eux.
Au cours d'une promenade, Véga a été escortée de deux solides gaillards, dont la robe avait la couleur de celle d'un border, la moustache l'épaisseur de celle d'un border, les oreilles et les yeux etc. ; bref, ils ressemblaient fort à notre mini-chienne internationale. Le seul hic est qu'ils la dépassaient allégrement… Alors, mini Véga deviendra-t-elle grande ? Qu'en pense Miss Valladolid, en passe de battre Véga sur le terrain de la petite taille ?

Goutons voir (oui oui, oui)

Eh oui, que faire, sinon du vin, quand une simple treille dans un jardin donne plusieurs centaines de kilos de raisins à cette saison ? C'est ce que les maîtres de Véga pensèrent au départ, mais Véga ayant manifesté à plusieurs reprises une aversion assez forte pour l'alcool (pauvre chienne, vont dire certains, elle boit pour tromper son ennui…), on décida de faire de la confiture.
En voici donc la recette, encore que de la région parisienne à Flines en passant par Nancy, les vignes ne soient pas légion (mais nous avons entendu dire que certains se rattrapaient sur le whisky coca)…
1) Obliger son maître à vanter la marchandise pour épater la clientèle
2) Ensuite, vérifier soigneusement qu'il coupe correctement le raisin, sans en oublier un grain
. On met soi-même la patte à la pâte en prenant un bout de bois affuté pour couper les grappes aussi…
3) Se faire rabrouer au passage quand on essaie d'en manger un peu : eh bien quoi ? Il faut bien goûter, non ? La maîtresse de Véga n'était pas d'accord, prétendant (stupidement) que les pépins pouvaient occasionner des sérieux problèmes dans l'estomac de sa chienne (pourtant, après le poisson pourri, tout peut être ingéré sans problème…). On notera donc le regard noir de Véga, lourd de reproches.
4) ensuite, c'est là que ça devient plus facile : pendant que ses maîtres s'activent jusqu'à tard le soir, à presser, filtrer, cuire, mettre en pots, on se dégotte un coin de peignoir hivernal (il fait 23°c, une petite fraîcheur…) et on pique un petit somme sur le lit des maîtres, sacrilège ! alors qu'ils sont occupés ailleurs…
5) revenir à la cuisine quand on est sûr qu'il n'y a plus rien à faire sauf de lécher discrètement les cuillères en bois qui ont servi à remuer le tout . Là encore, il faut bien vérifier que la confiture a pris, tout de même… Puis compter les pots de toutes sortes. Résultat : 33 pots cette fois-ci, pas mal pour les premiers raisins de Véga !

La semaine prochaine, dans l'émission "les bonnes recettes de Tatie Véga" : le soufflé aux croquettes, à la mode Vizir

(Chien) enragé

Décidément, rien ne marche comme on veut ces temps derniers, et en dépit des efforts de la maîtresse de Véga pour ajouter les photos des trois articles rédigés ces jours-ci, rien ne s'intègre au texte, pour une raison qu'elle ne comprend pas. Euh, les lecteurs seront-ils encore assez indulgents pour attendre jusqu'à lundi, date à laquelle elle retrouvera avec bonheur son ordinateur de bureau avec une liaison Internet digne de ce nom ? Pour vous appâter, voici les titres des articles (de fond) qui vous attendront en début de semaine : Goûtons voir (oui, oui, oui...) ; Canada Dry ; Diane au bain !
Que de réjouissances en perspective (on fait ce qu'on peut pour garder un ton léger face à la grogne compréhensible des lecteurs) !
Bon week-end à tous, et bon anniversaire à Vaya !