Goutons voir (oui oui, oui)
Eh oui, que faire, sinon du vin, quand une simple treille dans un jardin donne plusieurs centaines de kilos de raisins à cette saison ? C'est ce que les maîtres de Véga pensèrent au départ, mais Véga ayant manifesté à plusieurs reprises une aversion assez forte pour l'alcool (pauvre chienne, vont dire certains, elle boit pour tromper son ennui…), on décida de faire de la confiture.
En voici donc la recette, encore que de la région parisienne à Flines en passant par Nancy, les vignes ne soient pas légion (mais nous avons entendu dire que certains se rattrapaient sur le whisky coca)…
1) Obliger son maître à vanter la marchandise pour épater la clientèle
2) Ensuite, vérifier soigneusement qu'il coupe correctement le raisin, sans en oublier un grain
. On met soi-même la patte à la pâte en prenant un bout de bois affuté pour couper les grappes aussi…
3) Se faire rabrouer au passage quand on essaie d'en manger un peu : eh bien quoi ? Il faut bien goûter, non ? La maîtresse de Véga n'était pas d'accord, prétendant (stupidement) que les pépins pouvaient occasionner des sérieux problèmes dans l'estomac de sa chienne (pourtant, après le poisson pourri, tout peut être ingéré sans problème…). On notera donc le regard noir de Véga, lourd de reproches.
4) ensuite, c'est là que ça devient plus facile : pendant que ses maîtres s'activent jusqu'à tard le soir, à presser, filtrer, cuire, mettre en pots, on se dégotte un coin de peignoir hivernal (il fait 23°c, une petite fraîcheur…) et on pique un petit somme sur le lit des maîtres, sacrilège ! alors qu'ils sont occupés ailleurs…
5) revenir à la cuisine quand on est sûr qu'il n'y a plus rien à faire sauf de lécher discrètement les cuillères en bois qui ont servi à remuer le tout . Là encore, il faut bien vérifier que la confiture a pris, tout de même… Puis compter les pots de toutes sortes. Résultat : 33 pots cette fois-ci, pas mal pour les premiers raisins de Véga !
La semaine prochaine, dans l'émission "les bonnes recettes de Tatie Véga" : le soufflé aux croquettes, à la mode Vizir
En voici donc la recette, encore que de la région parisienne à Flines en passant par Nancy, les vignes ne soient pas légion (mais nous avons entendu dire que certains se rattrapaient sur le whisky coca)…
1) Obliger son maître à vanter la marchandise pour épater la clientèle
2) Ensuite, vérifier soigneusement qu'il coupe correctement le raisin, sans en oublier un grain
. On met soi-même la patte à la pâte en prenant un bout de bois affuté pour couper les grappes aussi…
3) Se faire rabrouer au passage quand on essaie d'en manger un peu : eh bien quoi ? Il faut bien goûter, non ? La maîtresse de Véga n'était pas d'accord, prétendant (stupidement) que les pépins pouvaient occasionner des sérieux problèmes dans l'estomac de sa chienne (pourtant, après le poisson pourri, tout peut être ingéré sans problème…). On notera donc le regard noir de Véga, lourd de reproches.
4) ensuite, c'est là que ça devient plus facile : pendant que ses maîtres s'activent jusqu'à tard le soir, à presser, filtrer, cuire, mettre en pots, on se dégotte un coin de peignoir hivernal (il fait 23°c, une petite fraîcheur…) et on pique un petit somme sur le lit des maîtres, sacrilège ! alors qu'ils sont occupés ailleurs…
5) revenir à la cuisine quand on est sûr qu'il n'y a plus rien à faire sauf de lécher discrètement les cuillères en bois qui ont servi à remuer le tout . Là encore, il faut bien vérifier que la confiture a pris, tout de même… Puis compter les pots de toutes sortes. Résultat : 33 pots cette fois-ci, pas mal pour les premiers raisins de Véga !
La semaine prochaine, dans l'émission "les bonnes recettes de Tatie Véga" : le soufflé aux croquettes, à la mode Vizir
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