Véga et tous ses amis
Avant de raconter quelques souvenirs de vacances dans un prochain article, il semblait nécessaire de présenter aux lecteurs impatients les nombreux amis que Véga a rencontrés lors de son séjour français de juillet. Ils ont un peu compensé l'absence de Vizir, dont Véga a retrouvé les babines avec délice ensuite.
Tout a donc commencé par un petit séjour à Flines où Véga a retrouvé sa peluche préférée, la jeune Léda, dont la dentition avait largement progressé depuis le dernier séjour. Ce fut l'occcasion de nombreuses courses-poursuites, de morsures réciproques en tout genre et d'une semaine bien agitée pour Véga qui ne demandait pas mieux que de se défouler avec un fauve plus petit qu'elle (ça changeait !).
Véga poursuivit ensuite sa route par un petit séjour chez Moïse le bouledogue qui eut la délicate attention de lui offrir Léo (Léo le chameau, mais nous sommes ouverts à toute suggestion onomastique surtout pour certains autres amis, vous allez voir). Léo présentait beaucoup d'avantages pour la petite Grecque exilée : une couleur vive des plus féminines, un côté "je suis rempli de bourre crissante facile à étaler sur les tapis", et également deux magnifiques yeux en plastique qui surent résister aux dents du fauve pendant au moins 5 mn... (la photo a donc plus de 5 mn, vous l'aurez remarqué !).
Enfin Véga arriva en Bretagne, avec ses autochtones parfois un peu rudes, mais tellement authentiques. Elle sympathisa aussitôt avec Syl' qui l'initia aux danses locales dans un fest-noz de sa création. (Syl' n'est pas l'abréviation de Sylvestre, mais de Syllabe, Syllabe le crabe ! On aurait pu choisir la facilité en le traitant de tourteau mais non, ce blog est exigeant et le restera).
Bien sûr, le problème de la taille entre les deux partenaires restait crucial et il fallait que Véga danse sur une marche d'escalier plus bas que Syl' pour lui tenir la pince. Aussi n'eut-elle de cesse de courtiser Prosper (le boxer, on vous mâche le travail), afin qu'il dansât avec elle. Las, les assauts un peu méditerranéens n'eurent pas l'effet escompté et les vacances se passèrent en poursuites de Prosper qui rejetait toute tentative d'approche de Véga !
Alors Véga se dit que finalement, ces Français étaient bien sauvages et décida de s'amuser seule en attendant de retrouver son Vizir. Elle remporta ainsi le grand prix du plus beau château de sable de Pen ar Roz (hameau comptant 10 habitants, 12 chiens, 15 crabes et 300 palourdes) .
Les vacances défilèrent ainsi rapidement, en jeux divers, en rencontres multiples, en séances photos sur la plage...
Lorsque Véga rentra en Grèce, une surprise de taille l'attendait : en son absence, Vizir s'était fait un nouveau copain, Barnabé (parce qu'âgé d'une douzaine de mois, donc de l'année des B...), qui présentait l'avantage d'avoir toujours avec lui une centaine de copines toutes remuantes, sautantes et bien vivantes, qu'il s'empressa de présenter à Vizir et Véga (soupir...). (Barnabé est au centre mais les copines ne sont pas visibles sur la photo, elles préfèrent le ventre de Barnabé !).
Véga ne comprit pas pourquoi sa maîtresse n'appréciait pas trop ces nouvelles fréquentations, mais saisit bien vite que si elle voulait éviter un bain chaque semaine, il lui valait mieux rester en seule compagnie de Vizir et saluer Barnabé et ses amies de loin seulement !
Néanmoins, on raconte que les soirs de plein lune, dans le jardin de Véga, se déroule une curieuse sarabande animée par Barnabé et quelques autres poilus du même genre, tous plus pucés les uns que les autres... Véga est une chienne sage et ne participe pas à ces rites étranges, mais un jour peut-être, les lecteurs auront droit à une photo de Vizir pris sur le vif, en train de hurler tel un loup, pendant que les autres sont assis autour de lui...
Véga poursuivit ensuite sa route par un petit séjour chez Moïse le bouledogue qui eut la délicate attention de lui offrir Léo (Léo le chameau, mais nous sommes ouverts à toute suggestion onomastique surtout pour certains autres amis, vous allez voir). Léo présentait beaucoup d'avantages pour la petite Grecque exilée : une couleur vive des plus féminines, un côté "je suis rempli de bourre crissante facile à étaler sur les tapis", et également deux magnifiques yeux en plastique qui surent résister aux dents du fauve pendant au moins 5 mn... (la photo a donc plus de 5 mn, vous l'aurez remarqué !).
Enfin Véga arriva en Bretagne, avec ses autochtones parfois un peu rudes, mais tellement authentiques. Elle sympathisa aussitôt avec Syl' qui l'initia aux danses locales dans un fest-noz de sa création. (Syl' n'est pas l'abréviation de Sylvestre, mais de Syllabe, Syllabe le crabe ! On aurait pu choisir la facilité en le traitant de tourteau mais non, ce blog est exigeant et le restera).
Bien sûr, le problème de la taille entre les deux partenaires restait crucial et il fallait que Véga danse sur une marche d'escalier plus bas que Syl' pour lui tenir la pince. Aussi n'eut-elle de cesse de courtiser Prosper (le boxer, on vous mâche le travail), afin qu'il dansât avec elle. Las, les assauts un peu méditerranéens n'eurent pas l'effet escompté et les vacances se passèrent en poursuites de Prosper qui rejetait toute tentative d'approche de Véga !
Alors Véga se dit que finalement, ces Français étaient bien sauvages et décida de s'amuser seule en attendant de retrouver son Vizir. Elle remporta ainsi le grand prix du plus beau château de sable de Pen ar Roz (hameau comptant 10 habitants, 12 chiens, 15 crabes et 300 palourdes) .
Les vacances défilèrent ainsi rapidement, en jeux divers, en rencontres multiples, en séances photos sur la plage...
Lorsque Véga rentra en Grèce, une surprise de taille l'attendait : en son absence, Vizir s'était fait un nouveau copain, Barnabé (parce qu'âgé d'une douzaine de mois, donc de l'année des B...), qui présentait l'avantage d'avoir toujours avec lui une centaine de copines toutes remuantes, sautantes et bien vivantes, qu'il s'empressa de présenter à Vizir et Véga (soupir...). (Barnabé est au centre mais les copines ne sont pas visibles sur la photo, elles préfèrent le ventre de Barnabé !).
Véga ne comprit pas pourquoi sa maîtresse n'appréciait pas trop ces nouvelles fréquentations, mais saisit bien vite que si elle voulait éviter un bain chaque semaine, il lui valait mieux rester en seule compagnie de Vizir et saluer Barnabé et ses amies de loin seulement !
Néanmoins, on raconte que les soirs de plein lune, dans le jardin de Véga, se déroule une curieuse sarabande animée par Barnabé et quelques autres poilus du même genre, tous plus pucés les uns que les autres... Véga est une chienne sage et ne participe pas à ces rites étranges, mais un jour peut-être, les lecteurs auront droit à une photo de Vizir pris sur le vif, en train de hurler tel un loup, pendant que les autres sont assis autour de lui...
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