31.1.06

Dis voir une fois

Véga adorant regarder les statistiques des visiteurs de son blog, elle a remarqué qu'un lecteur belge était très assidu : ce qui est étrange, c'est qu'il se connecte depuis l'Université de Liège, là même où sa maîtresse fréquente beaucoup de collègues. Véga lance donc un appel à ce lecteur : pourrait-il lui envoyer un message afin de se faire (re)connaître ? Oui, oui, c'est juste une question de saine curiosité !

30.1.06

C'est l'hiver !

Les lecteurs trouveront peut-être banal ce genre de réflexion, coincés qu'ils sont d'octobre à mai dans les grands froids du Nord ou de l'Est mais c'est un événement assez rare à Athènes pour que Véga ait eu envie de l'exploiter à fond. Aussi a-t-elle décidé la semaine dernière, de louer les services d'un moniteur de ski pour parfaire sa technique.
Pourquoi parfaire ? Parce qu'à Noël, déjà, en chienne chanceuse, Véga était partie aux sports d'hiver. Voyez plutôt la station de ski de rêve dans laquelle elle était, en compagnie de Moïse, sportif émérite (en fait, le seul chien au monde qui se déplace en godille même quand il ne neige pas). Tout avait été soigneusement pensé car Moïse lui avait dit "pour ne pas te confondre avec la neige, il faut mettre un anorak de couleurs vives. Je ne peux pas te prêter le mien, il est adapté à mon torse viril de bouledogue baraqué (notez les délicats élastiques sur les côtés…), il faut que tu t'en trouves un aussi" Véga songea d'abord à mettre sa belle cape chatoyante, mais elle présentait un inconvénient majeur : ça faisait froid sous le ventre qui n'était pas protégé ! Alors la maîtresse de Moïse (contre l'avis de celle de Véga), lui offrit une tenue de ski plus adaptée, d'un joli ton gris avec col roulé élégant, afin que la saucisse à pattes, pardon, Véga, puisse aller goûter elle aussi aux joies de la glisse.
Et après quelques essais, Véga réussit enfin à enchaîner les schuss sur les pistes les plus difficiles en laissant des traces de skis bien parallèles dans la neige…

C'est pourquoi, en revenant à Athènes, quelle ne fut pas sa joie de découvrir une superbe couche de neige fraîche sur la terrasse en se levant mercredi dernier. Aussitôt, elle appela un moniteur de ski pour venir poursuivre les cours déjà initiés par Moïse.
Certains se souviendront que le maître-nageur de l'été dernier était fort bien bâti. Eh bien, comble de chance, il s'était reconverti pour l'hiver et accourut à l'appel de Véga.
"Eh bien Véga, tu veux améliorer ta technique ? Pas de problème, on va y aller en douceur, laisse-moi voir si c'est de la poudreuse" déclara le moniteur.
"Ah oui, d'accord, car je ne voudrais pas me mouiller les pattes pour rien si la neige n'est pas de bonne qualité" répondit Véga (courageuse mais pas téméraire).
"C'est bon, tu peux venir, mais il faut suivre mes conseils à la lettre si tu veux progresser" "Oui, oui, je t'écouterai attentivement, Vizir, promis !"
Véga reprit avec joie son entraînement, en faisant quelques haltes pour admirer la nature, en souriant aux paparazzis cachés derrière les pots de fleurs,
et à la fin de la journée, elle savait parfaitement maîtriser la technique du chasse-neige à l'envers et sans skis (quoi ? vous ne connaissez pas ? On peut vous donner les coordonnées du moniteur si vous voulez)… Elle rentra épuisée mais ravie de sa journée !

27.1.06

Au programme...

La semaine prochaine : le feuilleton "Véga aux sports d'hiver", le documentaire "Vizir, danseur de flamenco professionnel", l'heure de jardinage "C'est la saison pour planter vos os en buffle si vous voulez les voir fleurir au printemps" et le débat de société "J'ai grossi, je pèse presque 7 kg : je suis une border obèse et sans complexe. Ça se discute." (pour Vanessa la fan...).
En attendant, c'est relâche ce week-end à la campagne où Vizir et Véga viennent de retrouver une Sido en grande forme et heureuse de les voir après une froide semaine seule dans la neige. Tout le petit monde est maintenant devant la cheminée !
Bon week-end à tous, à la semaine prochaine !

26.1.06

Eléphant dans un magasin de porcelaines...


Sans commentaires !

23.1.06

Conte pas pour les enfants

Il était une fois un très gentil chien qui vivait en liberté autour d'une propriété à la campagne. Il avait un collier avec son nom, il était vacciné et quatre maîtres (deux Grecs, deux Français) se chargeaient de le nourrir ainsi que sa grosse copine vache-renard (pour les initiés). Il pouvait rentrer et sortir de la propriété comme il voulait mais n'allait jamais très loin de sa niche douillette et fourrée de foin. Petit détail : ce gentil chien, que nous appellerons Vizir, au hasard, avait été abandonné le 1er mars 2005, le jour de la fermeture de la chasse, à l'âge de 10 mois environ, par un chasseur peu scrupuleux qui avait compris que tout Setter anglais pur race qu'il soit, il ne serait pas très compétent pour poursuivre les oiseaux. Lui, ce qui l'intéressait,Vizir, c'est qu'on lui donne beaucoup d'affection et qu'on lui lance 30 fois à la suite un caillou, un morceau de bois ou n'importe quoi d'autre, du moment qu'on lui lance un truc. Et comme ça, il était heureux depuis le printemps, libre d'aller où il voulait tout en ayant des gens affectueux qui lui donnaient toutes les caresses qu'il réclamait.De temps en temps, un camion d'éboueurs passait pour aller au village au-dessus... L'été et l'automne passèrent ainsi jusqu'à Noël, où Vizir disparut sans préavis. Pendant 3 semaines, ses maîtres grecs battirent le rappel, allèrent visiter tous les coins où on abandonne les chiens, se renseignèrent partout, sans succès. Lorsque ses maîtres français rentrèrent de vacances, ils décidèrent de passer à la vitesse supérieure en affichant une photo de Vizir, en le déclarant officiellement volé et surtout, en promettant une forte récompense : il se trouve qu'ils vivent dans un pays où l'argent est le moteur de tout, et en sachant cela, nul doute qu'on arriverait à retrouver Vizir.
Le vendredi 20 janvier au soir, un coup de fil au responsable du club des chasseurs du coin leur apprit qu'il avait vu Vizir le matin "près du cimetière" du bourg à 12-15 km de la maison de campagne. "Si vous y allez demain matin tôt, vous le trouverez là-bas". Les maîtres grecs de Vizir essayèrent le soir-même de le trouver, sans succès. Le samedi matin, les maîtres français se mirent en route après une panne d'oreiller, vers 8H30, au lieu des 7H escomptées. Ils passèrent une bonne heure à rôder dans le fameux coin du cimetière, à siffler, à appeler, sans succès non plus. L'endroit qu'ils ne connaissaient pas était fameux : décharges en tout genre, maisons faites de vieilles ferrailles et de planches de récupération, chiens errants faméliques et craintifs, gosses sales, fauves agressifs retenus par des chaînes d'un mètre dans des espaces de 2m2, sans eau ni nourriture (on trouva même deux setter anglais presque sosies de Vizir, attachés dans les mêmes conditions), et partout, terrains vagues couverts d'ordures et ambiance générale de Tiers-Monde : Calcutta n'a qu'à bien se tenir et on avait peine à imaginer qu'à 300m plus au-dessus d'une station balnéaire réputée en Grèce, on vivait dans une zone si répugnante. Alors qu'ils en étaient à s'ébahir de cet endroit, Anna, la maîtresse grecque de Vizir, les appela : on l'avait retrouvé, paraît-il, il était chez le vétérinaire ! Vite, vite, ils coururent là-bas : quand la maîtresse de Vizir entra, elle vit un grand chien efflanqué qui se plaqua sur le sol de peur. Elle s'exclama seulement "mon Vizir !" et à sa voix, il remua la queue et vint immédiatement lui faire la fête, c'était bien lui, elle l'aurait reconnu entre mille !
Alors commencèrent de sombres tractations. Les maîtres de Vizir voulaient connaître la personne qui avait trouvé Vizir pour lui donner la récompense : "c'est un éboueur, mais donne-moi l'argent, je vais lui transmettre, pas la peine de parler avec lui. Et puis il y en a deux autres avec lui qui l'ont aidé mais je ne veux pas qu'ils aient l'argent, eux, ce sont des voleurs" déclara le vétérinaire. Lorsque les maîtres de Vizir annoncèrent qu'ils voulaient donner 150 Euros (c'est beaucoup en Grèce), il ajouta "ce n'est pas assez, donne 250". Un peu interloqués, ils s'apprêtaient à obtempérer quand le dit éboueur appela: "ne donnez pas l'argent au vétérinaire, il va se servir au passage, je n'ai pas confiance en lui, c'est un voleur". Bien embêtés, les maîtres de Vizir ne savaient pas quoi faire : le vétérinaire hurlait "je ne veux pas que vous leur donniez l'argent aux trois, ce n'est pas mérité, seul un y a droit, et d'abord, il me doit quelque chose", mais il ne voulait pas non plus que l'argent soit remis directement à celui-là. L'éboueur insistait au téléphone "c'est un voleur, il va en prendre la moitié". Le vétérinaire refusa ensuite de pucer Vizir "ce chien, c'est sûr, personne ne vous le revolera maintenant, soyez en sûrs, donc pas besoin de puce". Enigmatique, non ? Finalement, contre l'avis du vétérinaire, les maîtres de Vizir allèrent trouver l'éboueur : "ce chien-là, je le vois rôder depuis 15 jours là-bas" déclara-t-il. "Alors ce matin, j'ai décidé de l'amener parce que j'avais vu votre affiche". "Moi-même je chasse, j'ai des chiens également", ajouta-t-il. On lui raconta encore la version officielle : Vizir est à moitié sourd, et donc il ne chasse pas (Vizir en fait entend ce qu'il veut entendre...). "Oui, oui" approuva le chasseur, oups, l'éboueur, désolée, et il empocha les 150 euros annoncés. Entre temps, pour apaiser la colère du vétérinaire, on alla lui faire l'aumône de 50 euros aussi, qu'il refusa de la tête en tendant la main pour les prendre...
De retour à la maison, lorsque le maître voulut appeler le responsable du club des chasseurs (qu'il connaissait bien), celui-ci refusa de lui parler. Bizarre, non ?
Après discussions entre tous les maîtres réunis, on en arriva à la conclusion que l'histoire était en fait très simple si on admettait les hypothèses suivantes. Depuis des mois, le camion des poubelles repérait ce chien en semi-liberté près de la maison. Le 24 décembre, certain que les Français ne venaient pas pour Noël, l'éboueur vola Vizir pour son service personnel. Il le garda enfermé dans une cour et le nourrit assez régulièrement si on en juge l'état pas trop mauvais de Vizir. Il se rendit vite compte que Vizir n'aimait pas tuer les oiseaux et n'en faisait qu'à sa tête. Entre temps, le responsable du club des chasseurs avait appris que ce chien était recherché et était embêté qu'il ait été volé à un Français qu'il connaissait bien. Vendredi soir, une fois qu'il eut la certitude que les Français étaient là, il leur suggéra d'aller chercher de tel côté tôt le matin, tout en conseillant à l'éboueur de relâcher ce chien à ce moment-là, afin que le hasard fasse bien les choses. Las, si les Français n'étaient pas adeptes de la grasse matinée, ils auraient économisé 200 Euros. A 8H30, quand l'éboueur vit que le chien était encore là, il décida de jouer le jeu et l'apporta chez le vétérinaire pour toucher officiellement la récompense. C'était tout bénéfice pour lui mais quelques petites remarques étranges de la part de tous firent tiquer les maîtres de Vizir et leur firent enfin entrevoir la vérité. Tout cela n'est que conjectures, mais le système de voler un chien puis de jouer à le retrouver pour toucher la récompense est connu en Grèce et il est fort probable que les choses se soient déroulées ainsi : tout le monde était dans le coup et tout le monde savait la part de responsabilité de chacun et le rôle qu'il avait joué.
Quel triste monde ! Dieu merci, l'heureux caractère de Vizir (savez-vous que ce chien bat de la queue même dans son sommeil quand il entend une voix connue de lui ?) lui a permis de se remettre rapidement de son triste Noël...

Quelques images sereines après la tempête...


Après les premiers moments d'effusion entre Sido, Vizir et Véga (en fait, Sido a été jalouse au départ, a montré les dents puis devant les baisers que lui faisait Vizir, elle a craqué), puis un bain et quelques croquettes plus tard, la routine a repris ses droits à la campagne, comme les images le montrent aux lecteurs qui ont suivi les aventures de Vizir... (notez bien Mini Véga sur la banquette au fond, sur la première photo !) Quand la maîtresse de Véga aura un peu plus de temps, elle racontera les tristes trafics canins qui ont lieu en Grèce.


Pour l'instant, entre deux promenades (sportives, avec deux fauves en laisse dont un qui n'est vraiment pas habitué), plus une visite-bilan avec "puçage" chez le vétérinaire, elle va essayer de travailler. Véga qui rêvait d'une descente de lit en fourrure a trouvé son vœu exaucé...

Et comme le dit son maître, c'est en ayant un grand Vizir dans un appartement athénien qu'on se rend mieux compte de la justesse du surnom de Mini Véga ! A bientôt !

21.1.06

EUREKA

Formule grecque tout à fait appropriée dans ce cas précis, puisqu'après divers renseignements et de sombres tractations financières, Véga et ses maîtres ont eu la joie de récupérer aujourd'hui VIZIR, bien kidnappé le 24 décembre au soir puis relâché dans une zone proche du tiers-monde 15 km plus loin, et retrouvé grâce aux affiches placardées partout. Vizir est amaigri mais pas trop, très sale, pas trop en forme question estomac, mais l'essentiel c'est qu'il était fou de joie à la vue de ses maîtres et quand il est revenu dans "son" jardin et sur "son" tapis dans la maison. Reste à voir la joie de Sido, partie en vadrouille pour la journée, quand elle retrouvera son grand copain. Vizir viendra loger à Athènes jusqu'à la fin de la saison de chasse, et autant dire que Véga va être ravie de pouvoir redormir entre ses grandes pattes. Aujourd'hui est donc un jour heureux...

17.1.06

Petit retour en arrière, le 24 décembre...

Lorsque Véga arriva à Besançon pour retrouver Moïse, on était près de Noël déjà, et on lui avait dit "le 24 au soir, y a un moustachu à bonnet rouge qui va venir avec une surprise, et plein de gens arriveront ensuite avec lui, surveille sa venue".
Aussitôt, Véga passa le mot à Moïse et ils décidèrent de se mettre à un poste d'observation avancé pour guetter l'arrivée de ce nouveau moustachu.
Bien sûr, ce n'avait pas été facile de se répartir les tours de guet et ils en étaient arrivés même à se disputer le coussin de surveillance… Mais finalement, quand Moïse jouait à "Un œil noir te regarde", Véga en profitait pour se reposer sur le fauteuil de la maîtresse de Moïse, reléguée sur une chaise inconfortable pour les besoins de la cause.

Enfin le jour déclina et après un bon repas de réveillon avec croquettes et eau de grand cru, Véga et Moïse s'apprêtaient à aller dans leurs coussins quand ils entendirent un gros bruit "toc toc toc", accompagné d'une voix basse qui faisait "oh oh oh" (un peu comme le chat voisin de Vaya, si vous voyez ce qu'on veut dire).
Moïse prit un air inquiet en demandant "chef, chef, j'fais quoi, mais j'fais quoi maintenant ?" (il avait un peu trop regardé "Le Gendarme à St Tropez", d'où l'appellation de chef pour Véga).
Pas de réponse de Véga qui avait décidé de pratiquer la politique de l'autruche pendant que les coups redoublaient à la porte. "J'ai trouvé une planque en or" pensait-elle, "au moins, le GM ne me verra pas" (GM = Gros Moustachu, ce n'est pas Moïse). Soudain, un flot de lumière et de bruits fit irruption dans la pièce et plein de gens entrèrent d'un seul coup pour venir saluer nos deux héros (pas très courageux quand même). "Oh, mais Véga, tu es absolument ravissante ce soir dans ta tenue de réveillon" s'exclama une paysanne. "Moïse, je t'ai apporté un poulet, je sais que tu en raffoles" déclara une autre. "Et nous sommes venus avec d'autres amis aussi, ils sont sous le radiateur" renchérit la première (Ben quoi ? Soyons modernes, Bethléem c'est pas tendance, y a pas de chauffage central), "regardez, même Lulu, Juju et Fufu sont arrivés spécialement du désert pour vous voir, c'est une belle surprise, non ?" (Oui, il y a un dromadaire qui s'appelle Juju, c'est pour vérifier le temps de réaction d'un lecteur particulier, ne cherchez pas).

Véga et Moïse ne se tenaient plus de joie, tant de monde pour eux, quelle fête immense ! Depuis les 10 mois de Véga et la Garden Party à la campagne, on n'avait pas vu cela…
Après plusieurs heures à jouer (à essayer de voler un dromadaire, soyons francs…), les deux chiens s'endormirent épuisés alors que l'aube arrivait déjà.
Et au réveil de Véga, quelle ne fut pas sa surprise de se voir couverte de peluches inconnues et toutes plus splendides les unes que les autres (quoi ? vous êtes jaloux ?). Le GM était passé et avait exaucé son vœu : trouver des nouveaux copains pour Alister (la panthère), Olaf (la girafe), Fernand (le néléphant), Roméo (l'hippopo) et tous les autres restés à Athènes… Il y avait donc là "Lapinou", "Poussinou", "Le chien bleu" et deux délicats nouveaux petits lapins (rose pour les filles, bleu pour les garçons)(oui, la maîtresse de Moïse est encore plus affligeante que celle de Véga question surnoms bêtes !) plus, ô suprême cadeau, "Matouvu", dont elle apprit plus tard qu'il avait servi près de 35 ans avant à sa propre maîtresse (quelle abnégation…).
Alors, pour remercier le Gros Moustachu de toutes ces surprises (on ne parle pas de cadeaux, le bouledogue n'est pas prêteur…), Véga et Moïse entonnèrent la désormais célèbre chanson de Noël pour fêter ce grand jour !


Atchoum !

Véga n'étant pas au top de sa forme depuis son retour, vient pour couronner le tout, d'attraper un gros rhume, sans doute en gambadant sans manteau ce week-end avec Sido, qui elle, a une couche de poil (et une légère de graisse) plus consistante. Même sur son podium de championne, elle a une petite mine frileuse. Du coup, son mal de gorge et ses éternuements à répétition l'empêchent bien de se consacrer à son blog et elle prie les lecteurs impatients de la pardonner.
Dès que possible, elle reviendra vous donner des nouvelles, et enfin peut-être, se décider à raconter comment le Père Noël est venu lui rendre visite il y a quelques temps...

10.1.06

Véga est rentrée !

A bientôt pour bien démarrer l'année !


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