Les deux V ont encore frappé...
Aujourd’hui, dans la série « quand je fais des bêtises, j’aime bien être accompagné », Mini Véga a le plaisir de vous présenter Vrac et Vaya, fidèles adeptes de ce jeu… Mais laissons-les plutôt s’exprimer…
« Eh dis donc, Vaya, tu vois ce que je vois ? Une fenêtre ouverte sur la liberté ! A nous le chat du voisin, à nous les bonnes odeurs du trottoir, et avec un peu de chance, il y aura même un vieux truc avarié à lécher ! La voie est libre, on y va ? Vas-y, monte la première »
« Aaaah, Vrac, ze crois que z’ai fait une bêtise, z’ai enclenssé le store et il s’est à moitié refermé … Pourtant, ze croyais pas que ze l’avais toussé ! » (Vaya zozote, pour ceux qui ne le savaient pas encore, ce qui lui confère un charme indéniable ).
« Eh dis donc, Vaya, tu vois ce que je vois ? Une fenêtre ouverte sur la liberté ! A nous le chat du voisin, à nous les bonnes odeurs du trottoir, et avec un peu de chance, il y aura même un vieux truc avarié à lécher ! La voie est libre, on y va ? Vas-y, monte la première »
« Aaaah, Vrac, ze crois que z’ai fait une bêtise, z’ai enclenssé le store et il s’est à moitié refermé … Pourtant, ze croyais pas que ze l’avais toussé ! » (Vaya zozote, pour ceux qui ne le savaient pas encore, ce qui lui confère un charme indéniable ).
« Mais quelle nouille, cette fille, c’est pas possible ! Bon, ben ma grande, tu te débrouilles maintenant… Toi qui te vantes toujours d’être plus mince que Véga, t’as qu’à le prouver : tu te glisses en dessous et tu vas m’ouvrir la porte d’entrée depuis l’extérieur. »
« Naaaan, z’ai le vertize, ze veux pas sauter, ze veux retourner dans mon panier, z’en ai marre de tes bêtises, Vrac, va te faire trimer ! Et puis, Véga, ze reconnais maintenant, elle est plus mince que moi, moins sarpentée...»
« Mais quelle trouillarde, c’est pas vrai ! » (Tiens, je sais comment je vais l’appâter, afin qu’elle saute...) (ceci est un aparté théâtral, les lecteurs l’auront compris ). « Dis donc Vaya, t’as vu qui il y a en bas ? Regarde mieux, vas-y, penche-toi, oui ! C’est le chat du voisin, il te nargue parce qu’il me disait hier justement : « oh, oh, oh » (il a une grosse voix de Père Noël, le chat du voisin), « oh oh oh, donc, ta fiancée, Vrac, elle est plutôt de la race poule mouillée que border, parce que je peux m’asseoir tranquille devant elle quand elle est à la fenêtre, je sais très bien qu’elle n’osera pas sauter. Tout dans la voix, c’est qu’une crâneuse… ».
« Quoaaaaaaa ? Une crâneuse ? Il a dit ça, ce çat ? Alors que n’importe quel canisse lui ferait peur, il prétend que moi, une sienne de race, ze sipote et ze ressigne à sauter de ma démarsse saloupée ? » (on a essayé de faire encore plus zozoter Vaya, vous l’aurez remarqué, c’est pas très « saritable » de notre part). Ah, ben ze m’en fisse, cette fois-ci, pas de ssissi, ze tente une approsse et ze saute à 3. A la une, à la deux, à la troaaaaaaaaas ! ».
Il doit bien y avoir une morale de La Fontaine pour illustrer cette scène, non ? Que diriez-vous de « Toute poule mouillée fait des bêtises en suivant un border qu’elle écoute. Cette leçon valait bien un chat, sans doute »…
« Naaaan, z’ai le vertize, ze veux pas sauter, ze veux retourner dans mon panier, z’en ai marre de tes bêtises, Vrac, va te faire trimer ! Et puis, Véga, ze reconnais maintenant, elle est plus mince que moi, moins sarpentée...»
« Mais quelle trouillarde, c’est pas vrai ! » (Tiens, je sais comment je vais l’appâter, afin qu’elle saute...) (ceci est un aparté théâtral, les lecteurs l’auront compris ). « Dis donc Vaya, t’as vu qui il y a en bas ? Regarde mieux, vas-y, penche-toi, oui ! C’est le chat du voisin, il te nargue parce qu’il me disait hier justement : « oh, oh, oh » (il a une grosse voix de Père Noël, le chat du voisin), « oh oh oh, donc, ta fiancée, Vrac, elle est plutôt de la race poule mouillée que border, parce que je peux m’asseoir tranquille devant elle quand elle est à la fenêtre, je sais très bien qu’elle n’osera pas sauter. Tout dans la voix, c’est qu’une crâneuse… ».
« Quoaaaaaaa ? Une crâneuse ? Il a dit ça, ce çat ? Alors que n’importe quel canisse lui ferait peur, il prétend que moi, une sienne de race, ze sipote et ze ressigne à sauter de ma démarsse saloupée ? » (on a essayé de faire encore plus zozoter Vaya, vous l’aurez remarqué, c’est pas très « saritable » de notre part). Ah, ben ze m’en fisse, cette fois-ci, pas de ssissi, ze tente une approsse et ze saute à 3. A la une, à la deux, à la troaaaaaaaaas ! ».
Il doit bien y avoir une morale de La Fontaine pour illustrer cette scène, non ? Que diriez-vous de « Toute poule mouillée fait des bêtises en suivant un border qu’elle écoute. Cette leçon valait bien un chat, sans doute »…
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